Tous les métabolismes ne réagissent pas de la même manière lors de la pratique de sport ou du suivi d’un régime. Cela va dépendre, entre autres facteurs, de votre type de morphotypologie ou autrement dit votre silhouette.
C’est un psychologue américain (ahhh ces américains…) qui a défini dans les années 40 les morphotypes pour faire un lien entre les silhouettes des individus, leur tendances physiologiques mais aussi psychologiques (ouhhh, comme Rorschach avec ce tâches, mais en moins barjot tout de même).
Bref, les classes de morphotypes sont (je m’egare, je m’égare…) :
Endomorphe :ossature fine, hanches larges, épaules étroites, une morphologie ronde. Les endomorphes ont une facilité à faire des réserves de gras même avec une alimentation équilibrée. Leur capacité à construire du muscle serait « moyenne ». Ils sont associés à un tempérament jovial et extraverti.
Mésomorphe :ossature large et épaisse et des épaules larges. Ils sont autant de facilité à grossir qu’à maigrir et à prendre du muscle. On les associerait à un tempérament courageux et énergique.
Les ectomorphes : ossature fine, mince, étroits de la taille, généralement grands et fins. Peu musclés avec une bonne capacité à rester sec. Les ectomorphes sont associés à une personnalité intellectuelle mais anxieuse et timide.
Comme pour l’horoscope, on peut s’identifier à plus d’un morphotype. Le plus important est d’identifier celui qui vous correspond le mieux.
Il y a des gens qui sont pour cette typologie, d’autres contre en considérant que l’on se sert de ce classement pour justifier une difficulté à atteindre des objectifs (musculation, poids, etc.).
Personnellement, je trouve que ça donne des indices pour pouvoir adapter l’alimentation et/ou l’entrainement.